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Rencontre de Michel  avec le Mwami de la Chefferie des Bahunde Toutes les actualités Partager la boisson, un acte d’économie humaine !

Quand le RIEH rencontre l'ISTD !
 

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Pendant son séjour à Kalehe, Michel a rencontré le Directeur général de l’ISTD. Son assistant, Dévot Magadju, qui était présent, a fait un compte-rendu très complet et très fidèle. Voir le texte intégral avec le lien  [c.r. rencontre du RIEH à l'ISTD]

 

 

ISTD KALEHE photo groupe

Devant la façade de l'ISTD Kalehe : En chemise à gauche Justin TABAYE, chef de section de l'ISTD, suivi d'Éric Bisonga, président du GEV. Le DG en veste Le Bertin BUZIGIRE, au milieu Michel Tissier, secrétaire international de RIEH, à sa gauche Michel JENDARME, apiculteur et Dévot Magadju, assistant du DG de l' ISTD Kalehe et point focal de la radio Gorilla FM 


L’Institut supérieur des techniques de développement est situé sur le territoire de Kalehe. C’est un trait remarquable car la grande majorité des établissements d’enseignement supérieur en RDC sont situés dans les villes. au Kivu, ils sont à Bukavu ou Goma. C’est un défi pour le Directeur général Le Bertin Buzigire : il doit faire venir les enseignants de Bukavu et les étudiants préfèrent aller à Goma et Bukavu, établissements plus prestigieux, censés ouvrir davantage de perspectives d’emploi.


Participer à ATEA est un des éléments de sa stratégie pour donner une meilleure image de son établissement.

 

Voici les principaux extraits de ce compte-rendu.

L’ISTD s’engage à apporter un accompagnement technique et scientifique en collaboration avec d’autres institutions comme l’UCB, l’UEA et l’ISP.

L’institution regorge des compétences nécessaires et il existe même des travaux scientifiques déjà réalisés et d’autres en cours dans le domaine de l’environnement et de l’agriculture/agroécologie.

Même des conférences sont envisagées dans ce sens et maintenant que ce cadre de collaboration a commencé, il préfère que cela soit canalisé dans le sens de l’approche ATEA / RIEH.

 

Même sans moyens financiers ou avec très peu de moyens d’autofinancement, quelques actions sont possibles, comme par exemple la sensibilisation, la communication pour le changement de comportement.
Les travaux pratiques des étudiants peuvent être capitalisés dans les activités de reboisement et d’agroécologie.


Le D.G a félicité encore une fois M. le secrétaire du RIEH pour sa philosophie, son approche, en disant que si tout le monde s’implique, les actions envisagées présenteront plus d’impacts que les interventions des ONG qu’il voit passer des journées et consommer des budgets colossaux en train de distribuer des cash, des vivres et non vivres qui ne changent pas la vie des bénéficiaires ; ce que lui a toujours décrié et découragé.

 

Le D.G promet de voir le Mwami et l’Administrateur du territoire en leur qualité d’autorités de l’entité pour leur parler profondément de ce qu’il a retenu pour cette approche et de la nécessité pour eux de s’y impliquer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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