"Pour un développement humain, intégral, solidaire et participatif, en harmonie avec le vivant"

 
 
 
 
 
 
 
 

Women act for living together (WALT), Les femmes agissent pour le vivre ensemble. Toutes les actualités A Bangui, Michel rencontre l'association Femmes en danger

Angeline et Valérie, Michel et Gilbert animent un atelier sur l’économie humaine à Bangui le 2 février 2019
 

Un atelier rassemblant une cinquantaine de personnes s’est tenu le samedi matin 2 février 2019.

 

Il rassemblait des personnes qui voulaient en savoir plus sur l’économie humaine. La plupart des participants appartenaient à des organisations : organisations de femmes, de jeunes, de défense des droits humains, de défense des victimes de violences ; une professeure d’université et un enseignant-chercheur de l’Institut supérieur de Développement rural ; des organisations catholiques, musulmanes et protestantes ; des auto-entrepreneurs ; une représentante de la Fédération des PME de RCA ; un représentant de l’ONU ; des journalistes.

 


A la fin de la présentation de Michel, les participants souhaitent qu’on trouve une formule pour définir ce qu’est l’économie humaine et il est retenu :

 

« L’économie humaine, c’est la façon dont nous organisons notre maison commune pour répondre durablement aux besoins de chacun et de tous, dans leur diversité, grâce au travail de tous ».

 

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Des questions sur l’histoire du réseau sont posées par un public qui ne connaît ni Lebret, ni l’encyclique Populorum Progressio et pour lequel les figures de l’indépendance comme Senghor ou Mamadou Dia n’évoquent rien. Boganda reste cependant une référence pour ces personnes engagées et on peut présenter la convergence entre sa pensée et son œuvre et l’économie humaine. Il donne en effet à l’action politique l’objectif premier de répondre aux cinq besoins fondamentaux : nourrir, vêtir, loger, soigner, instruire. Il veut que tous les Centrafricains en bénéficient et il considère le travail comme la seule source de développement.


Plusieurs veulent savoir d’où viennent les ressources du RIEH et sont un peu déçus de savoir qu’elles viennent d’abord de ses membres.
Une toute jeune femme, découvrant la liste des membres du Conseil d’administration du RIEH,  critique l’absence de femmes.
Cinq livres Chemins d’économie humaine ont été vendus sur place.


A la fin de la réunion, plusieurs organisations se déclarent décidées à constituer un groupe local pour l’économie humaine, sans lui donner nécessairement une forme juridique officielle. Pour échanger sur les valeurs qu’ils partagent, pour porter ensemble la vision d’une société centrafricaine où la personne humaine est au centre, pour mener ensemble un projet dans le cadre du programme d’action du RIEH Des territoires en marche vers l’économie humaine.


La présentation de Michel : Fichier Powerpoint

 

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